Circuits de Culture
avec TransAnatolie Tour
Circuits de Culture avec TransAnatolie Tour; les circuits
culturels TransAnatolie Tour en Turquie; Circuits de Turquie avec
TransAnatolie Tour
Contenu
TransAnatolie TA3409: Circuit de Culture: Istanbul-Edirne-Çanakkale-Truva-Bergama-Bursa:
9 Jours: Le Meilleur de l'Ouest
PAGEREF _Toc103427965 \h 1
1er jour: Europe-Istanbul
PAGEREF _Toc103427966 \h 2
2eme jour: Istanbul-Capitale de cinq Civilisations
PAGEREF _Toc103427967 \h 2
Jour 3: Istanbul
PAGEREF _Toc103427968 \h 4
4eme jour: Istanbul
PAGEREF _Toc103427969 \h 4
5eme jour: İstanbul-Edirne-Uzunköprü-Dardanelles-Çanakkale
PAGEREF _Toc103427970 \h 4
6eme jour: Çanakkale-Truva- Pergame.
PAGEREF _Toc103427971 \h 5
7eme jour: Ayvalık Pergame-Bursa.
PAGEREF _Toc103427972 \h 5
8eme jour: Bursa-Istanbul
PAGEREF _Toc103427973 \h 6
9eme jour: Istanbul-Europe.
PAGEREF _Toc103427974 \h 6
Prix.
PAGEREF _Toc103427975 \h 6
Sont Compris dans les prix.
PAGEREF _Toc103427976 \h 6
Ne sont pas compris dans les prix.
PAGEREF _Toc103427977 \h 7
Pergame: (Villes Antiques, Bergama, Pergamum, Pergamom, Anatolie,
Turquie)
PAGEREF _Toc103427978 \h 7
TransAnatolie Tour: Multilingual Cultural Tour Provider and Operator.
PAGEREF _Toc103427979 \h 16
Arrivée, transfert, tour d'orientation le long des
Murailles Byzantines avec l'arret a Yedi Kule, Sept Tours, coctail de
bienvenu, diner et logement a notre hotel 4* soit dans la vielle ville,
Quartier de Théodora-Roxane, soit dans le coté de Taksim-Beyoglu, le
Quartier de Mata Hari.
i
Le matin: Découverte de la Corne d’Or et du Quartier Pierre Loti, visite
du Cimetière Impérial Ottoman et de la Mosquée d’Eyüp; promenade pres
des Remparts Romano-Byzantin ainsi que visite de l’Eglise Saint Sauveur
in Chora, de l'Eglise Saints Serges et Bacchus.
Déjeuner près du Cirque Romain dans un cabaret mésopotamien ou chez le
Restaurant de Soliman le Magnifique dans le complex de la Mosquée de
Soliman le Magnifique.
Après-midi: Visite de l’Eglise-Mosquée-Musée Sainte Sophie,le reve de
l’Impératrice Théodora et du Justinien 1er, l’Empereur du Code Civil
Romain. Visite également du Palais Impérial des Ottomans:Topkapı (visite
facultative du Harem ), on termine la journée avec une ballade au Grand
Bazaar.
Dîner et logement à l’hôtel ****.
Possibilités d’excursions facultatives pour la soirée:
Istanbul by night ou bien soirée chez les pêcheurs-Tziganes a Kumkapı
avec l'animation des rues dansant a la turque ou Dîner spectacle au
Cabaret Gar ou bien a Orient House.
Un extrait de l’Epopée de Gilgamesch:
" La courtisane enleve ses vetements
Dévoile ses seins, dévoile sa nudité
Et Enkidou se rejouit des charmes de son corps.
Elle ne se dérobe pas, elle provoque en lui le desir.
Elle enleve ses vetements
Et lui, Enkidou tombe sur elle.
Elle apprend a cet homme sauvage et innocent
Ce que la femme enseigne.
Il la possede et s’attache a elle.
Six jours et sept nuits Enkidou sans cesse
Possede la courtisane .
Enkidou ne connait pas le pain comme nourriture,
Ne connait pas la boisson forte
Il a grandi en tetant le lait des betes sauvages.
La courtisane lui dit :
Mange du pain , Enkidou,
Le pain est l’élement de la vie
Bois de la boisson forte
C’est la coutume des gens du pays ".
" SIDURI-
Ou vas-tu ,Gilgamısh ?
La vie que tu cherches
Tu ne la trouveras pas .
Lorsque les grands dieux créerent les hommes ,
C’est la mort qu’ils leur destinerent
Et ils ont gardé pour eux la vie éternelle,
Mais toi, Gilgamısh
Que sans cesse ton ventre soit repu
Sois joyeux nuit et jour
Danse et joue
Fais chaque jour de ta vie
Une fete de joie et de plaisirs
Que tes vetements soient propres et somptueux
Lave ta tete et baigne- toi
Flatte l’enfant qui te tient par la main
Rejouis l’épouse qui est dans tes bras.
Voila les seuls droits que possedent les hommes "
L’Epopée de Gilgamesh, traduit , par A. Azrie (48).
i
Matin: Visite de l’Hippodrome de Courtisane Théodora, du Palais
d’Ibrahim Pascha et de son Musée Ethnographique dite Musée de l'Art
Islamique, ensuite traversée de la Place Sultan Ahmet et visite de la
Mosquée Bleue ainsi que la Citerne Basilique.
Déjeuner dans un restaurant turco-grecque.
Après-midi: Visite du Marché Egyptien et de la Brocante.
Possibilité facultative d’une croisière sur le Bosphore.
Familiarisataion avec de l'art arménien qui est fort pour les bijoux.
Dîner et logement à l’hôtel****.
i
Matin: Visite des Musées d’Archéologie et des Antiquités Orientales de
Cinili Kosk.
Déjeuner au Restaurant de la Gare de l'Orient Express.
Apres midi,familiarisation avec les produits culturels du pays:Tapis,
Cuir.
Diner et logement a notre hotel****.
i
Apres le petit déjeuner départ pour la deuxieme Capitale Ottomane;
Andrinople-Edirne, réputée pour la lutte a l’huile.Visite de Selimiye,
chef d’oeuvre de Sinan, Maitre Architecte de Soliman le Législateur
nommé par les français comme Soliman le Magnifique. Ballade au Bazar-
Caravansérail de Rustem Pacha, Grand Vizir et le gendre de Soliman.
Visite du Complex social du Sultan ottoman Bazajet 2.
Déjeuner a Edirne. Apres midi, départ pour les Dardanelles via Uzunköprü-le
Pont Long d’une longeur de 1392 m. Traversée des Dardanelles, Diner et
logement Eceabat ou a Çanakkale. Hotel *** ou ****.
i
Apres le petit déjeuner, flannerie dans les petites rues de Çanakkale
pour le contact avec la population locale.
visite du fabuleux site:Troie, faire la connaissance de l’amour de Paris
et la Belle Helene de Troie, voir courir Achile derriere Hektor le long
des Murailles de Troie d’apres l’Iliade et Odysée de Homere d’Izmir.
Déjeuner a Tusan Motel non loin de Troie et apres midi départ pour
Pergame, ville des trésors d'Alexandre le Grand et de parchemin.
Détente a Ayvalık au bord de la Mer Egée en face de
l'Ile Lesbos.
Diner et logement a Kalif Otel ***+
i
Apres le buffet du petit déjeuner a notre hotel avec le mistral de la
Mer Egée, visite de Pergame: l'Acropole et l'une des sept premieres
eglises de l'Apocalypse de Saint Jean. découverte de l’une de 7
Premieres Eglises de l’Apocalypse, de la Révelation, la Cour Rouge de
Bergama, Temple de Sérapis. Visite de l’Acropole des cousins d’Alexandre
le Grand: Philetere-Eumene-Attale, Temple de Trajan et Hadrien,
Bibliothéque de Pergame, les ateliers de Papyrusse, Temple d’Athéna,
Temple de Zeus de Pergamon exposé au Musé de Pergamon a Berlin, Palais
impériaux d’Attale et Eumene, le célebre théatre de Pergame[1].
i
Apres le petit déjeuner visite de la Mosquée Verte, du Complex Muradiye
avec les Tombeaux Impériaux, ces monuments nous fascinent a travers des
destins des Princes Ottomants: de Djem Sultan et de Prince Moustapha de
Soliman le Législateur.
Déjeuner chez Yüce Hünkar Restaurant pour gouter la cuisine la plus
raffinée de la Turquie avec le Kebab d'alexandre le Grand.
Apres midi, route pour Istanbul et traversée en ferry boote de la Mer
Marmara, en arrivant a Istanbul contemplation de la ville de la Colline
de Çamlıca ou nous goutons le the au samovar de la Mer Noire dans les
pavillons des sultans ou les sultans arrivaient avec leur harem.
Diner et logement a notre hotel**** a Istanbul.
i
Apres le petit déjeuner, journée libre selon les horaires de retour;
transfert vers l’aéroport.
i
·
Prix des Voyages, Circuits TransAnatolie en Turquie,
Produits de voyage en Turquie
ou
·
Contact TransAnatolie.
i
·
9 jours, 8 nuitée pension complete dans
les hotels de charme ou 4*.
·
Diner premier soir,petit déjeuner du
dernier jour+ gouter de baklava- nombrile de femme.
·
Entrées des sites et des musées prévus,
service d’un guide conférencier universitaire parlant la langue du
groupe.
·
transport en Turquie d’un bus 403 Mersedes
ou similaire de confort de tourisme.
i
·
Boissons dans les hotels et restaurants,
·
Pourboires,
·
Transports en Europe, vol Europe –Istanbul A/R,
Assurances,taxe d’aéroport.
i
Tous les droits sont reserves pour
TransAnatolie Tour
Cette ville abritait le centre de 4 grands cultes païens
: ceux de Zeus, Athéna, Dyonisos et Asklepios. Il y avait en plus le
culte de l'Empereur. Culte blasphématoire qui fait dire à Jean
que là "est le trône de Satan" (Ap 2:13). Parmi les vestiges découverts
à la fin du XIXe Siècle, un grand autel porte de splendides décorations
de combats entre les dieux et les géants. D'autres édifices sont dédiés
au culte d'Athéna, de Trajan et d'Hadrien, grand persécuteur du peuple
chrétien. Jean évoque ces persécutions et les martyrs qui sont tombées
dans cette ville (Ap 2:12-17).
Cependant, les nicolaïtes occupaient une place dans la communauté
chrétienne de Pergame et plusieurs se livraient au culte érotique des
idoles, dont celui de Dyonisos, Dieu du vin et des réjouissances dont
les bacchannales conduisaient toujours à l'impudicité et aux orgies (sur
la photo, stèle d'offrandes à Bacchus retrouvée à Ephèse).
Pergame - Apocalypse 2.12-17
S’étant installée dans le monde, l’Eglise cesse d’être un témoin pour
Christ, et le monde cesse de la persécuter. Quand le monde et l’Eglise
s’associent, il ne reste plus aucun motif de persécution. A partir de
cette période, l’Eglise dans son ensemble a perdu son caractère céleste...
Messages aux 7 Eglises de l’Apocalypse
Pergame - Apocalypse 2.12-17
Le message adressé à Ephèse montre clairement que si la profession
chrétienne a perdu sa position de témoin pour Christ sur la terre,
l’abandon du premier amour pour lui en fut l’origine. Dans le message à
Smyrne, nous apprenons comment ce déclin fut arrêté pour un temps par la
persécution que le Seigneur laissa son Eglise traverser. En même temps,
elle fut troublée par des docteurs judaïsants qui cherchaient
manifestement à échapper à la persécution du monde en tentant de lier
les formes du judaïsme avec les enseignements du christianisme. Pour un
temps, la persécution réveilla la fidélité des saints. Néanmoins, le
levain du judaïsme, bien qu’alors rejeté avec indignation, fermentait
durant la période de Smyrne. Cet effort pour changer l’assemblée
chrétienne composée uniquement de vrais croyants, en une
pseudo-synagogue juive, composée d’un mélange de croyants et
d’incrédules, ouvrirait naturellement la porte de l’Eglise au monde et
préparerait ainsi le chemin qui l’amènerait à s’installer dans le monde
C’est là la phase suivante du déclin de la profession chrétienne, le
caractère dominant de l’Eglise dans la période de Pergame. Une Eglise
judaïsée n’est plus un scandale pour le monde. Un peu plus tôt, l’apôtre
Paul pouvait écrire : "Si je prêche encore la circoncision, pourquoi
suis-je encore persécuté ? - alors le scandale de la croix est anéanti"
(Galates 5.11).
V. 12 : La présentation de Christ à l’ange de l’église à Pergame fait
référence à l’état de l’Eglise dans cette période. Le Seigneur se
présente comme "celui qui a l’épée aiguë à deux tranchants". Nous savons
par Hébreux 4.12 que l’épée à deux tranchants est une figure de la
Parole de Dieu. Le psalmiste peut parler de la Parole comme d’une lampe
à son pied (Psaume 119.105). Ici, elle n’est pas vue comme une lumière
pour le chemin du chrétien, mais comme une épée qui s’occupe de tout ce
qui est contraire à la lumière. La Parole vue comme l’épée a toujours un
aspect judiciaire. Elle peut certes être utilisée par l’Esprit pour
protéger le chrétien des ruses du diable (Ephésiens 6.11-17), ou, comme
dans ce passage solennel, elle peut être utilisée par Christ contre le
corps public de la profession chrétienne, à moins qu’il n’y ait
repentance.
V. 13 : Le Seigneur en vient tout de suite à ce qui est si sérieux à ses
yeux. Il dit : "Je sais où tu habites, là où est le trône de Satan".
Satan, nous le savons, est le prince de ce monde et il siège là où il
gouverne. Son trône n’est pas en enfer comme l’imaginent faussement des
poètes. Il siège là où il règne et non dans le lieu où il sera lié quand
son trône sera anéanti et le temps de son règne terminé. Il ne règne pas
seulement à Rome, ou à Pergame. Son royaume n’est pas limité à un lieu,
il s’étend au monde entier. Si l’église professante habite là où est le
trône de Satan, nous pouvons être sûrs que l’Eglise a abandonné son
caractère d’étrangère et s’est installée dans le monde.
Le Seigneur a dit des siens : "Vous n’êtes pas du monde,
mais... moi, je vous ai choisis du monde" (Jean 15.19). De plus, le
Seigneur Jésus Christ "s’est donné lui-même pour nos péchés, en sorte
qu’il nous retirât du présent siècle mauvais" (Galates 1.4). En outre,
les chrétiens ont reçu un appel céleste, leur habitation est dans le
ciel. L’Eglise appartient au ciel et devrait porter un caractère
céleste. Combien c’est alors solennel pour ce qui a la position de
l’Eglise devant le monde, d’abandonner l’appel céleste, de rejeter son
caractère céleste et de s’installer dans le monde. Il
est vrai que le chrétien est dans le monde et, en effet, le Seigneur
parle de ses disciples comme étant envoyés dans le monde, car il peut
dire au Père "Comme tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi je les ai
envoyés dans le monde" (Jean 17.18). Comment donc y a-t-il été envoyé ?
Assurément pas pour "habiter" dans le monde, mais pour rendre témoignage
à Dieu comme la lumière du monde. Celui qui, quand il était sur la
terre, pouvait parler de Lui-même comme "le Fils de l’homme qui est dans
le ciel" (Jean 3.13), n’était pas un "habitant" de ce monde. Certes, il
marchait sur la terre, mais sa demeure était dans le ciel. L’Ecriture
montre d’une manière absolument claire que le monde est le lieu de notre
pèlerinage, où nous sommes laissés pour un temps afin de reluire "comme
des luminaires dans le monde" (Philippiens 2.15). Habiter dans le monde,
c’est chercher à s’y établir comme si c’était notre habitation
permanente.
Tel était donc l’état solennel de l’Eglise dans la
période de son histoire décrite dans le message à Pergame. Elle
n’était plus un témoin dans le monde, mais une habitante du monde.
Habiter montre le caractère moral de la profession, tout comme
l’expression "ceux qui habitent sur la terre", utilisée ensuite dans
l’Apocalypse, montre le caractère d’une certaine classe de personnes.
Les anges visitèrent Sodome, ayant à y rendre témoignage ; Lot y habita,
il trouva là son chez-lui et son caractère fut formé par le lieu où il
habitait.
S’étant installée dans le monde, l’Eglise cesse d’être un témoin pour
Christ, et le monde cesse de la persécuter. Quand le monde et l’Eglise
s’associent, il ne reste plus aucun motif de persécution. A partir de
cette période, l’Eglise dans son ensemble a perdu son caractère céleste
et ne le retrouvera jamais tout au long de son histoire sur la terre ;
et il y eut pire, car le christianisme est devenu parmi les hommes
simplement un moyen pour élever le niveau des masses et faire prospérer
des intérêts matériels.
Néanmoins, il y avait encore ce que le Seigneur pouvait approuver, car
nous l’entendons dire : "Tu tiens ferme mon nom, et tu n’as pas renié ma
foi". Le nom dans l’Ecriture est toujours l’expression de ce qu’est une
personne et cela parle de la vérité concernant la personne de Christ.
"Ma foi" désigne les grandes vérités du christianisme concernant
l’incarnation, la mort et la résurrection de notre Seigneur.
En dépit du fait que le corps professant s’était installé dans le monde
et avait ainsi abandonné son caractère céleste, l’Eglise, pendant cette
période, tenait encore ferme la vérité concernant la personne de Christ
et refusa de se laisser entraîner en aucune manière à renier la foi
chrétienne.
Cela implique toutefois que, à cette époque, il y eut des attaques pour
enlever à l’Eglise les grandes vérités du christianisme. L’arianisme qui
niait la divinité de Christ, l’apollinarisme qui attaquait son humanité
et le nestorianisme qui faisait de notre Seigneur deux personnes,
surgirent au quatrième siècle. L’Eglise, en condamnant l’hérésie au
cours de différents conciles, tint ferme la vérité concernant la
personne de Christ, certains sacrifiant même leur vie plutôt que
d’abandonner la vérité. Antipas fut un brillant exemple de ceux dont le
Seigneur parle "Mon fidèle témoin, qui a été mis à mort parmi vous, là
où Satan habite". Le Seigneur ne pouvait plus parler de l’Eglise dans
son ensemble comme "Mon fidèle témoin", mais il y avait encore des
individus fidèles.
Il est extrêmement encourageant que le Seigneur nous fasse connaître
que, si grand que soit le déclin général et si sombre que soit l’époque,
il y a toujours des personnes isolées qu’il peut approuver et dont il
peut parler comme étant "à lui", et pas seulement comme étant des
témoins pour lui, mais de "fidèles témoins". De même l’apôtre Paul, nous
donnant des instructions pour un jour de ruine, envisage manifestement
l’existence de telles personnes, car il charge Timothée de transmettre
la vérité "à des hommes fidèles" (2 Timothée 2.2).
La fidélité d’Antipas lui valut une mort de martyr. Il fut un lumineux
témoin de Christ dans le monde de Satan et, par là, un brillant exemple
de ce que toute l’Eglise aurait dû être dans ce monde ; et par
contraste, il condamnait le bas état de l’Eglise. Il est vrai que
l’Assemblée n’était pas en association reconnue avec le monde gouverné
par Satan, qui avait déjà montré son vrai caractère en mettant à mort le
fidèle témoin du Seigneur ; néanmoins, les paroles du Seigneur semblent
faire un sérieux reproche à l’Eglise déchue, car il dit de ce fidèle
témoin qu’il "a été mis à mort parmi vous, là où Satan habite". C’est
comme s’il disait à l’Eglise "vous vivez où Satan habite, mais mon
fidèle témoin y est mort".
V. 14 : Ainsi, nous comprenons que, si le Seigneur aura toujours des
témoins fidèles, à partir de ce moment-là, l’Eglise dans son ensemble
est désormais installée dans le monde. Le pas suivant
dans le déclin est de composer avec le monde où elle s’est installée.
On pourrait objecter que le monde avait changé de caractère,
puisqu’il avait cessé de persécuter l’Eglise. Ce n’était qu’un
changement extérieur, un changement de comportement. Il couvrait sa
nudité d’une profession extérieure de christianisme ; de coeur, il
demeurait le même : il aimait le péché et haïssait Christ. Néanmoins,
l’Eglise ayant abandonné son premier amour était prête à devenir la
proie de ses séductions.
Ce palier dans le déclin est illustré par l’histoire de
Balaam. Cet homme profondément méchant nous est présenté dans les
chapitres 22 à 24 des Nombres. Il fut soudoyé par Balak pour maudire le
peuple de Dieu. Empêché d’aider Balak à le détruire par les
malédictions, il lui enseignait comment en provoquer la chute par la
corruption. Contraint de donner la pensée de Dieu quant à Israël, il
avait dit "Voici, c’est un peuple qui habitera seul, et il ne sera pas
compté parmi les nations" (Nombres 23.9). C’était cette barrière entre
Israël et le monde que Balaam essayait de renverser. L’association avec
le monde que Moab représente, est la doctrine de Balaam. Pour s’assurer
"le salaire d’iniquité" (2 Pierre 2.15), il enseigne à Balak "à jeter
une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël", en renversant le mur
de séparation et en établissant ainsi des relations entre Israël et les
nations (Nombres 31.16). Balak agit selon ce conseil pervers et on en
trouve le résultat dans le chapitre 25 des Nombres. Au lieu de chercher
à soulever une opposition plus violente contre Israël, Balak permet au
peuple de s’installer dans son pays. Ainsi, nous lisons : "Israël
habitait en Sittim" (Nombres 25.1), ville des plaines de Moab (Nombres
33.49). Installé dans le pays de Moab, le peuple de Dieu
tombe dans les voies idolâtres et impies de ce monde. Il en va de
l’Eglise comme d’Israël : elle s’est installée dans le monde, elle y
habite, elle a contracté une alliance impie avec lui et adopte son
idolâtrie. Ainsi, à cette étape de l’histoire de l’Eglise, des hommes
ont été laissés libres d’enseigner qu’il serait avantageux pour l’Eglise
et pour le monde que les chrétiens se mêlent aux hommes du monde.
Il pouvait y avoir des protestations isolées, mais il n’y avait plus
d’opposition générale à ces faux docteurs. Le Seigneur ne dit pas comme
à Ephèse : "Tu hais" ou "Tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres... et
tu les as trouvés menteurs" (2.2), mais : "Tu as là des gens qui
tiennent la doctrine de Balaam". Des faux docteurs étaient tolérés et de
mauvaises pratiques suivirent. Comme toujours, une doctrine mauvaise
conduit à une pratique mauvaise.
V. 15: Balaam enseignait au peuple de Dieu à s’associer
au monde. En outre, la période de l’histoire de l’Eglise représentée par
Pergame, fut marquée par ceux qui tenaient la doctrine des Nicolaïtes.
Leur doctrine perverse était manifestement de tourner la grâce de Dieu
en licence. Au début, cela se montra par l’introduction dans le milieu
chrétien de pratiques immorales venant du monde païen. Ces pratiques
dissolues étaient haïes et rejetées à Ephèse. A Pergame, ce mal
affreux avait pris une forme plus subtile, cette licence ayant le
support de la doctrine. Pierre fait probablement référence aux docteurs
de cette doctrine perverse quand il avertit l’Eglise qu’il "y aura parmi
vous de faux docteurs qui introduiront furtivement des sectes de
perdition" et il ajoute "Plusieurs suivront leurs excès" (2 Pierre 2.1,
2).
On ne peut absolument pas ajouter foi aux allusions à la secte des
Nicolaïtes que l’on trouve dans les écrits profanes ; c’est pourquoi, il
est difficile d’y glaner quoi que ce soit de sûr concernant ces
personnes. Pour cette raison, certains ont pensé que le mot est pris
dans un sens symbolique. Ils disent que le mot signifie "conquérants du
peuple" et se réfère à la naissance du cléricalisme. Contre cette
manière de voir, nous devons nous souvenir que l’étymologie du mot est
fondée sur de simples suppositions.
A terme, la tolérance de ces fausses doctrines ouvre la voie de façon
inévitable à l’union de la profession chrétienne, dans ses dernières
étapes, avec le monde : l’Eglise s’est avilie en tombant dans
l’idolâtrie du monde, et le monde s’est donné un vernis extérieur de
respectabilité en adoptant la profession chrétienne.
V. 16: Suivent des avertissements et un appel à la repentance. Si cet
appel n’est pas entendu, le Seigneur viendra à ce corps professant comme
un juge, et promptement. Il ne s’agit pas là de la venue du Seigneur qui
va effectivement enlever au ciel ceux qui constituent son Eglise, son
Corps ; - et l’Ecriture dit que cette venue aura aussi lieu promptement.
Il viendra à Pergame d’un point de vue moral et agira judiciairement
contre ceux qui corrompent la profession chrétienne. Il ne dit pas : Je
combattrai contre "toi" mais : Je combattrai contre "eux". Si l’Eglise
n’a plus de puissance pour s’occuper des faux docteurs et des méchants,
le Seigneur peut agir directement pour ôter le mal et maintenir
l’honneur de son nom. Ce jugement sera exécuté par l’épée de sa bouche.
Ces faux docteurs seront démasqués et condamnés par la Parole de Dieu.
La Parole qui est une lumière et une consolation pour ceux qui lui
obéissent, devient une épée pour condamner ceux qui méprisent ses
avertissements et ses instructions.
V. 17: L’invitation à écouter ce que l’Esprit dit aux assemblées est
suivie de la promesse au vainqueur, liée à "la manne cachée", au
"caillou blanc" et au "nouveau nom".
La manne était la provision de Dieu venant du ciel pour nourrir Israël
durant son voyage dans le désert. Spirituellement, nous savons que
Christ est "le pain qui est descendu du ciel" (Jean 6.58) pour être la
nourriture de son peuple dans le désert. La manne présente Christ venu
ici-bas, non seulement dans la condition humaine - à part le péché -
mais aussi dans les circonstances d’ici-bas pour connaître tout ce que
nous avons à rencontrer dans un monde déchu. La "manne cachée" fait
référence à l’omer de manne qui était placé dans l’arche en mémorial.
Christ est maintenant exalté dans le ciel ; il n’est plus vu dans
l’humiliation. Cependant le privilège du vainqueur est de savoir que
celui qui est maintenant dans la gloire, fut autrefois dans le désert où
il parcourut son chemin solitaire, débonnaire et humble, et rencontra le
mépris d’un monde hostile et la contradiction des pécheurs.
Hélas ! Le corps professant s’était installé dans le monde pour y
trouver son chez-soi ; il s’associait à lui par une alliance impie et
mangeait des choses sacrifiées aux idoles. Le vainqueur refuse de se
laisser entraîner dans le monde qui est toujours pour lui un désert
qu’il traverse en n’étant qu’étranger et pèlerin. Ayant refusé de manger
les choses sacrifiées aux idoles, il reçoit la promesse du Seigneur :
"Je lui donnerai de la manne cachée".
Ensuite, le Seigneur dit : "Je lui donnerai un caillou
blanc". C’est sans doute là une image : lors d’une élection, le
citoyen déposait un caillou dans l’urne, blanc ou noir selon qu’il
approuvait le candidat ou non. Cette image exprime que la pensée du
Seigneur donne au vainqueur le sentiment de son approbation. Le
vainqueur peut certes se heurter à la désapprobation des hommes quand il
résiste à l’alliance impie de l’Eglise avec le monde ; cependant, la
pensée de l’approbation du Seigneur exprimée par le caillou blanc sera
pour lui un encouragement.
De plus, sur le caillou se trouve un nouveau nom écrit. Les noms dans
l’Ecriture ne sont pas utilisés simplement pour distinguer une personne
d’une autre, mais pour montrer le caractère particulier d’une personne.
Le nouveau nom n’indique-t-il pas le caractère que Christ voit et
apprécie chez celui à qui il donne un nouveau nom ? Le monde peut
diffamer et chercher à attribuer de mauvais motifs au vainqueur qui
refuse d’aller avec la foule pour faire le mal. Quoi qu’il en soit, le
Seigneur donne au vainqueur la joie secrète de réaliser que son vrai
caractère est connu et apprécié par lui-même.
Hamilton Smith (1863-1943)[1]
i
i
Les archéologues, les historiens d’art présentent la Turquie comme le berceau de
nombreuses civilisations, comme un carrefour de diverses cultures, comme le pays
natal du blé, comme le pays natal de l’alliage.
TransAnatolie a l’ambition de vous faire découvrir ce merveilleux pays avec une
approche fondamentalement différente des habitudes du tourisme de masse, des
habitudes des sentiers battus.
Découvrir la Turquie, c’est de faire connaissance à la fois avec le monde
de la première Déesse Mère de Çatalhoyuk-Konya, avec les premières
capitales des Hittites: Acemhoyuk–Hattusas, avec Hector, Achille, Päris, la
Belle Hélène et l’histoire du Cheval de Troie, avec Ulysse, l’Iliade et
l’Odyssée, avec le Monde gréco-romano-anatolien d’Aspasie, muse de la
democratie de Perikles et avec Thales de Milet, avec Apollon de Didymes, avec
Athéna à Priene, avec Artémis et Héraclite d’ Ephese, avec Homère de
Smyrne sans oublier Byzance–Constantinople–Istanbul.
Voyager en Turquie avec TransAnatolie vous plongera dans le bain de trois
grandes religions monothéistes.
L’Arche de Noé sur le Mont Ararat ainsi qu’Abraham à Harran et a
Urfa,
l’ancienne Edesse, vous parleront de l’Ancien Testament.
La grande tolérance des Ottomans s’est manifestée pour les Juifs de
l’Espagne mis a la porte pendant la Reconcista Par Isabelle de Castille et
Ferdinand II d’Aragon.
Ensuite, ce fut Solïman le Magnifique qui avait fait libérer le Roi de
France, François 1er des prisons de Charles Quin.
Le Nouveau Testament peut être suivi à la trace sur les Pas de Saint Paul
et dans les premières églises en Cappadoce, Phrygie, Lydie, Tarse, Antioche,
Psydie et a Ephèse.
Voyager en Turquie avec Transanatolie nous montrera l’affection toute
maternelle de la Vierge Marie, a l’Eglise Tokalı dans La Vallée de Mille
et Une Eglises a Göreme. La Vierge Marie, la Mère Myriam des Turcs musulmans.
Nous admirerons les danses des Derviches Tourneurs en voyage avec
TransAnatolie.
Nous rencontrerons également la richesse de Crésus, l’espérance
d’immortalité de Gilgamische en Mésopotamie, celle de Memed (Mehmet)
d'Acemhoyuk, sysyphe Anatolien, l’amour de l’Euphrate pour le Tigre sans
oublier les délices de la cuisine turque, l’une des meilleures du Monde.
Pendant votre voyage en Turquie, vous trouverez les traces de Darius et
d’Alexandre le Grand tout en faisant connaissance avec le noeud gordien des
tapis turcs-Taspinar, les épices de l’Orient, les merveilles du Monde, les
oiseaux et les plantes rares du Lac Salé, de la Plaine Yesilova-Eskil-Esmekaya,
le monstre du lac de VAN, les caravansérails et les ponts de Marco-Polo sur la
route de la soie,vous trouverez de nouveau votre santé dans les centres
thalasso-termaux: Pamukkale, Kütahya,Ankara Haymana- Kızılcahamam,
Belek-Kemer, Afyon, Bursa, Yalova, Nigde-Ulukisla, Çiftehan, Narligol,
Kemerhisar Tyana Kosk, Kocapinar-Ferhenk, Sivas, Gönen, Emet, Oylat, Hisarcık,
Bolu, Çeşme, Dalyanköy, Ilgın, Aksaray, Ziga.
Le Chien Kangal de Sivas, le coq de Denizli, les loups de Cappadoce, les
soldats de Tamerlan et les bergers du Mont Ararat seront les elans de votre
voyage en Turquie avec TransAnatolie.
La Turquie européenne de Mustafa Kemal Ataürk vous accueillera en joignant
les normes de l’Occident aux charmes de l’Orient.
i
Cliquez sur l'hyperlien pour télécharger les circuits culturels
TransAnatolie Tour en Turquie:
TransAnatolie Tour
Licence AG du Ministère Turc de la Culture et du Tourisme N° 4938
|