Circuits de Culture
avec TransAnatolie Tour
Circuits de Culture avec TransAnatolie Tour; les circuits
culturels TransAnatolie Tour en Turquie; Circuits de Turquie avec
TransAnatolie Tour
Contenu
TransAnatolie TA3401: 4 Jours Circuit de Culture Istanbul: Theodara:
Byzance –Constantinople - Istanbul
PAGEREF _Toc103380461 \h 1
Jour 1: Arrivée à Istanbul
PAGEREF _Toc103380462 \h 1
Jour 2:
PAGEREF _Toc103380463 \h 2
Jour 3:
PAGEREF _Toc103380464 \h 3
Jour 4:
PAGEREF _Toc103380465 \h 3
Prix.
PAGEREF _Toc103380466 \h 3
Excursions Facultatives
PAGEREF _Toc103380467 \h 3
Dans les prix sont compris
PAGEREF _Toc103380468 \h 4
Dans les prix ne sont pas
PAGEREF _Toc103380469 \h 4
Théodora, femme de Justinien.
PAGEREF _Toc103380470 \h 4
Justinien.
PAGEREF _Toc103380471 \h 6
TransAnatolie Tour: Multilingual Cultural Tour Provider and Operator.
PAGEREF _Toc103380472 \h 15
accueil, visite panoramique de la ville, les doubles murailles
romano-byzantines de l’époque de Constantin le Grand et de Thédosios le
Grand.
Contemplation de Sept Tour- Sept Prisons ottomanes ou restaient enfermés
les sultans ottomans déstitués attendant leur tour d’étranglement pour
le salut du trone d’apres les lois impériales mises en vigeur par Mehmet
le Conquérant d’Istanbul; Fatih.
Diner et logement a Hotel Armada 4*-Boutique ou similaire.
i
Matin: Apres le buffet du petit déjeuner, découverte de la Corne d’Or et
du Quartier Pierre Loti, visite u Cimetière Impérial Ottoman et de la
Mosquée d’Eyüp; Quartier le plus typique d’Istanbul qui est en meme
temps Quartier de Pélérinage du Monde Musulmane. Promenade sur les
Remparts romano byzantin ainsi que visite de l’Eglise Saint Sauveur in
Cora et de la Mosquée de Mihrimah Sultan, Princesse de Soliman le
Législateur des Turcs et Soliman le Magnifique des Français.
Déjeuner près du Cirque Romain dans un restaurant turco-grec.
Après-midi: Visite de l’Eglise-Mosquée-Musée Sainte Sophie et du Palais
de Topkapı, ainsi que son Harem et ses salles de Trésors.
Pour terminer la journée ballade au Grand Bazar.
Hagia Sophia als moskee (met minaretten en met een halve
maan op de centrale koepel) Binnenzicht Hagia Sophia
Apres etre reposé un peu a l’hotel, nous réalisons le programme
d’Istanbul by night avec un programme Son et Lumieres( du mois de Mai au
mois de Septembre), la visite de la Mosquée de Soliman le Magnifique et
soirée pecheur a Kumkapı.
Logement a notre Hotel Armada 4*- Boutique ou similaire 4*. i
Matin: Visite de l’Hippodrum puis le Palais d’Ibrahim Pacha et son Musée
Ethnographique, la Citerne Basilique, ensuite traversée de la Place
Sultan Ahmet et visite de la Mosquée Bleue, familiarisation avec les
produits culturels du pays:Tapis-Bijoux-Cuir. Déjeuner
dans un restaurant mésopotamien.
Après-midi: Visite du Marché Egyptien et de la Brocante.
Croisiere sur Détroit du Bosphore en longeant a la fois la Rive
Europhéenne du Bosphore et la Rive Asiatique pleine de maisons en bois
dites Yali.
Logement a l’hotel Armada 4*- Boutique ou similaire.
i
Apres le buffet du petit déjeuner, journée libre selon les horaires de
retour.
Gouter de baklava et au revoir a un autre circuit culturel de
Transanatolie Tour.
i
·
Prix des Voyages, Circuits TransAnatolie en Turquie,
Produits de voyage en Turquie
ou
·
Contact TransAnatolie.
i
·
Diner spectacle au Cabaret Gar Ou bien au Caravanserail
Night Club- a la Tour de Galata- Orient House Istanbul
·
Turkish Belly Dance.
i
·
4 J /3 nuit a İstanbul
·
a l’Hotel Armada 4*- Boutique ou similaire en pension
complete,
·
Transport en Turquie pour le programme a Istanbul:
Mercedes Wito-Sprinter, WW.Wolt-Mercedes, bus: Mercedes
403/Intro/Mitsubishi-Safir-Isizu Turquoise.
·
2 Déjeuners dans les restaurants de specialités,
prestation en pension complete avec le diner du premier soir et le petit
déjeuner du dernier jour.
·
Les entrées des visites prévues.
·
Service d’un guide national conférencier universitaire
parlant la langue du groupe.
i
·
L’Avion A/R Europe/Istanbul
·
Les assurances, Taxe d’Aéroport
·
Boissons et pourboires.
i
Tous les droits sont réservés pour
TransAnatolie Tour
L'impératrice Théodora (début VIe siècle-548), d'après un détail d'une
mosaïque de Ravenne.Théodora (vers 500 - 548) est une impératrice de
l'empire byzantin, femme de Justinien. D'humble origine, elle est semble
t-il la fille d'Acacius, un dresseur d'ours attaché au cirque de
Constantinople. Avant de devenir la maîtresse du futur empereur
Justinien elle est, selon Procope de Césarée, danseuse et courtisane.
Pour épouser Théodora, de 17 ans sa cadette, Justinien obtient de son
oncle l'empereur Justin Ier l'abrogation d'une loi qui interdisait à un
sénateur de se marier avec une courtisane.
Mariée en 523 à Justinien, alors magister militum praesentalis, elle
revêt la pourpre en même temps que lui en 527 dans la basilique
Sainte-Sophie ce qui l'associe pleinement à l'Empire et fait d'elle une
impératrice pleine et entière. Elle conseille souvent Justinien, en
particulier dans le domaine religieux, et sauve la situation en janvier
532 lors de la sédition Nika par une attitude courageuse et énergique,
qui tranche avec celle de Justinien, préférant « mourir dans la pourpre
» que de céder face à la populace. Avec l'aide de Narsès
et de Bélisaire la sédition est écrasée.
Sa vie privée, une fois sur le trône, est irréprochable bien que Procope
dans son Histoire Secrète fasse de Théodora une véritable érotomane.
Cependant, les exagérations de Procope, si tant est que l'Histoire
secrète soit réellement de lui, sont certainement à mettre sur le compte
d'une opposition politique à une femme qui selon une rumeur probablement
exagérée, gouvernait son mari et par là-même tout l'empire. Attaquer une
femme sur sa vertu est un moyen commode de la discréditer.
En réalité elle fait prendre à Justinien des mesures énergiques contre
les propriétaires de maisons de tolérance et dépense de fortes sommes
pour aider les prostituées, rachetant certaines d'entres elles et en
fondant une maison pour « pécheresses » repenties.
Théodora est moins heureuse dans le choix de ses favoris et certaines de
ses interventions sont pour le moins maladroites. Ainsi après avoir
couvert les débordements d'Antonine, la femme de Bélisaire, elle se
brouille avec elle et fait rappeler Bélisaire d'Italie à un moment
critique. Elle privilégie les hommes qui lui sont dévoués même s'ils
sont incompétents.
Dans le domaine religieux, alors que Justinien penche pour l'orthodoxie
et un rapprochement avec Rome, Théodora reste toute sa vie favorable aux
monophysites et réussit à infléchir, du moins jusqu'à sa mort, la
politique impériale.
Théodora meurt en 548, 17 ans avant Justinien, d'une maladie dont les
symptômes ressemblent à ceux d'un cancer du sein. Son corps fut enterré
dans l'église des Saints-Apôtres à Constantinople.
Avec son mari, elle est une sainte de l'Église orthodoxe commémorée le
14 novembre.
Riccardo Freda lui a consacré un film en 1952 : Teodora, imperatrice di
Bisanzio avec Gianna Maria Canale dans le rôle de Théodora et Georges
Marchal dans celui de Justinien.
Justinien, mosaïque de la basilique San Vitale de Ravenne, avant
547Justinien Ier (né le 11 mai 483 en Illyrie - mort le 13 novembre 565)
est empereur byzantin de 527 à 565. Il est l’un des plus importants
dirigeants de l’Antiquité tardive. Que ce soit sur le plan du régime
législatif, de l’expansion des frontières de l’Empire ou de la politique
religieuse, il laisse une œuvre et une vision considérables.
La fin d’une époque
Le long règne de Justinien, près de 40 années, ne marque pas,
contrairement à ce qui est souvent avancé, le début d’une ère nouvelle
mais représente la dernière tentative du vieil Empire romain pour
refaire l’unité impériale, tant par la reconquête militaire que par la
codification du droit et la volonté d’imposer le pouvoir du souverain à
l’Église. Les indéniables succès du règne vont, en particulier dans le
domaine militaire et territorial, se révéler sans lendemains car
démesurés pour les structures et les ressources de l’Empire. Ce n’est
qu’au prix de profondes transformations sociales et politiques, qui en
font l’empire byzantin sous le règne d’Héraclius, que celui-ci trouvera
les moyens de surmonter les nombreux adversaires et dangers auxquels il
est confronté.
Origines, formation et caractère
Justinien (Flavius Petrus Sabbatius Justinianus) est né en Illyrie le 11
mai 483 à Taurésium (Justiniana Prima), (près de l’actuelle Leskovac)
dans une famille assez modeste d’Illyriens romanisés. Sa chance est
d’être le neveu d’un soldat à qui une brillante carrière permet
d’accéder au trône impérial en 518 sous le nom de Justin Ier, succédant
à l’empereur Anastase Ier.
Justin adopte son neveu et lui fait donner, alors qu’il est lui-même
sans grande culture, la meilleure éducation possible — l’éducation
d’alors se base sur le droit, la rhétorique et la théologie. Devenu
empereur, Justin associe rapidement Justinien aux affaires et le nomme
patrice puis consul. Il est rarissime dans l’histoire politique
byzantine de voir un homme né aussi loin du trône, à ce point préparé à
régner. Quand il accède au pouvoir en 527, à l’âge de 45 ans, c’est un
homme mûr à la personnalité contrastée.
En effet Justinien possède d’indéniables qualités : un grand sens de
l’État et de l’idée impériale, une forte puissance de travail, une
relative simplicité de mœurs assez atypique pour l’époque (il est
végétarien et ne boit pas d’alcool), et une culture réputée. Ses
qualités intellectuelles sont cependant parfois gâchées par un caractère
soupçonneux, influençable, un autoritarisme qui se change brutalement en
pusillanimité (comme lors de la sédition Nika) et, surtout après la mort
de l’impératrice Théodora en 548, un manque de persévérance dans
l’action.
Il sait aussi, et c’est une de ses qualités premières, s’entourer de
collaborateurs remarquables, quoique souvent sans scrupules, tels
Bélisaire, Narsès, Tribonien ou le préfet du prétoire Jean de Cappadoce.
Justinien n’hésite pas à favoriser les hommes en qui il a confiance,
l’exemple de Narsès, eunuque d’extraction modeste devenu l’un des plus
grands chefs militaires de son temps en est la meilleure illustration.
Enfin, et même s’il ne faut pas exagérer son influence, le rôle de
Théodora, ancienne actrice de très humble origine (à tel point que
Justin Ier fit modifier la loi interdisant à un sénateur d’épouser une
actrice pour permettre le mariage de son neveu), épouse de Justinien
depuis environ 523, est indéniable.il est l'empereur romain qui va
essayer de recontruire l'Empire Romain
Politique extérieure
Paix avec la Perse sassanide
Dès le début de son règne Justinien semble avoir comme objectif de
reconstituer l’ancien empire romain autour de la Méditerranée. Mais pour
cela il doit d’abord mettre fin à la lutte contre la Perse dont les
troupes sont aux portes d’Antioche en 529. Bélisaire remporte quelques
succès entre 529 et 531 mais Justinien préfère finalement en 532 acheter
la paix qui lui est nécessaire pour réaliser ses objectifs de reconquête
en Occident.
Guerre contre les Vandales
L’empereur s’attaque dans un premier temps au royaume
des Vandales en Afrique du Nord. Il craint que la flotte de ces
derniers ne pertube plus tard ses opérations militaires en Italie et les
liaisons commerciales. Outre cet aspect il y a une raison plus politique
: Hildéric, roi des Vandales vient d’être renversé par Gélimer. Hildéric
était le représentant de la tendance pro-byzantine et favorable à un
rapprochement. Aussi Bélisaire à la tête d’une forte armée pour l’époque,
sans doute 18 000 hommes, débarque entre Sfax et Sousse en 533. La
bataille de l’Ad Decimum en 533, puis le 15 septembre 533 la prise de
Carthage et du roi Gélimer sonnent le glas du royaume fondé par Genséric.
Dans la foulée les armées byzantines s’emparent de la Corse, de la
Sicile et de la Sardaigne.
Guerre contre les Ostrogoths
L’assassinat, par son mari Théodat, de la fille de Théodoric Ier le
Grand, la reine Amalasonte, est le prétexte évoqué par Justinien pour
envahir l’Italie en 535. Deux armées prennent en
tenaille les armées des Ostrogoths, l’une venant de Dalmatie l’autre de
Sicile, sous la direction de l’indispensable Bélisaire. Celui-ci
s’empare de Naples, puis occupe Rome le 10 décembre 536 et enfin Ravenne
en 540 malgré la résistance opiniâtre du nouveau roi Vitigés. Ce dernier
est fait prisonnier et envoyé à Constantinople où Justinien le traite
avec honneur. Mais l’empereur commet l’erreur en 540 de disgracier
Bélisaire, dont il craint visiblement la popularité et qu’il avait déjà
tenté de contrôler en lui envoyant Narsès comme second vers 538.
L’échec cuisant de cette tentative avait abouti au rappel de Narsès un
an plus tard.
En 540 le rappel de Bélisaire dans la capitale, où il se voit confier
des missions plus honorifiques que de réels commandements, correspond
aussi à une nouvelle offensive de la Perse dans le Caucase et en Syrie.
La paix n’est définitivement signée qu’en 562 et aboutit à une
progression de l’influence byzantine en Arménie et dans le Caucase.
Toujours en 540, la capitale est menacée par les Bulgares dont Justinien
ne se débarrasse qu’en lançant contre eux les Avars qui vont s’établir
dans la vallée du Danube. Ces difficultés permettent aux Ostrogoths,
dirigés par Totila, de reprendre l’offensive et de vaincre à deux
reprises les Byzantins (Faenza, puis Mugillo en Italie centrale). La
ville de Naples est reprise en 543, celle de Rome le 17 décembre 546.
Il faut attendre l’arrivée de Narsès en 552 pour voir la situation
tourner à l’avantage des troupes de Justinien. Narsès, seul commandant
en chef cette fois et pourvue d’une forte armée, se révèle un excellent
chef de guerre et inflige aux Ostrogoths la défaite de Taginae (552) en
Ombrie où Totila est tué. Les dernières résistances sont balayées en 553
au mont Lactarus, près du Vésuve, où leur dernier roi, Téias est tué. En
555 Narsès écrase une invasion alamande près de Capoue. L’Italie est
redevenue romaine mais au prix de la ruine de la péninsule.
Profitant de l’appel à l’aide du roi wisigoth Athanagild en lutte contre
un compétiteur, Agila Ier, Justinien se fait céder pour prix de son
soutien l’ancienne province de Bétique (l’actuelle Andalousie) en 554 et
impose la suzeraineté byzantine au royaume des Wisigoths.
Justinien est le dernier empereur à avoir tenté de
réunir les deux parties de l’ancien Empire romain. Ses
successeurs, s’ils ne renonceront pas au titre, prendront acte de la
séparation définitive entre l’Orient et l’Occident.
Politique intérieure
Œuvre législative et administrative
Illustration pour les Institutiones Imperiales. Justinien trône au
centre de la gravure (XVIe siècle)À son accession au pouvoir Justinien
trouve une situation économique et financière saine grâce à la sage
politique suivie par ses prédécesseur tels Anastase Ier. Cela lui laisse
les mains libres afin d’appliquer son programme de restauration et
d’unification du monde romain. Dès le début de son règne il s’applique à
une grande réforme juridique.
Diverses commissions, dirigées par le juriste Tribonien, compétent mais
détesté pour sa vénalité, sont chargées de remettre de l’ordre dans
l’ensemble des constitutions impériales publiées depuis Hadrien. Cette
réorganisation, le Corpus Juris Civilis, est ce que nous appelons le
Code Justinien (529) écrit en latin, la langue vernaculaire de l’Empire
romain, qui n’était pas compris par la plupart des citoyens de l’empire
d’Orient. Une seconde version, le Codex retitae praelectionis, la seule
que nous ayons, celle de 529 étant perdue, est publiée en 534.
En 533 est publiée aussi le Digeste (ou Pandectes), qui correspond à une
modernisation de toute la législation antique ainsi qu’à une synthèse de
la jurisprudence antique. À cela s’ajoute un manuel pour enseigner le
droit, les Institutes (533). Enfin les lois nouvelles, voulues par
Justinien, les Novelles, sont écrites en grec, la langue véhiculaire de
l’empire, après 534. Cette œuvre législative prend une importance
fondamentale en Occident car c’est sous cette forme reçue de Justinien
que l’Occident médiéval, à partir du XIIe siècle adopte le droit romain.
Justinien entreprend aussi de nombreuses réformes administratives,
contenues surtout dans les grandes Novelles de la période 535-536. Leur
objectif est essentiellement de renforcer le pouvoir de l’empereur en
démembrant les grands offices, de lutter contre l’inquiétant
développement de la grande propriété foncière ainsi que contre la
corruption endémique des fonctionnaires impériaux. Aussi, souvent pour
des raisons fiscales, Justinien regroupe diverses provinces, considérées
de taille insuffisante et, afin de simplifier l’administration locale,
supprime un certain nombre de diocèses et regroupe parfois, comme en
Égypte agitée par des troubles réguliers, les pouvoirs civils et
militaires entre les mains de commandants militaires.
Politique religieuse
Justinien fut un des premiers empereurs à être représenté avec une croix
sur la face d’une pièceJustinien fut un des premiers empereurs à être
représenté avec une croix sur la face d’une pièceJustinien se conçoit
comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se
donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou
dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe, soit
dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie[1].Il veut
gouverner l’Église en maître, et en échange de la protection et des
faveurs dont il la comble, il lui a impose sa volonté, se proclamant
nettement empereur et prêtre. [2]. L’action législative de Justinien
s’inscrit donc dans la durée avec une attention toute particulière pour
l’Église. En effet l’empereur est un chrétien sincère et
il s’estime, dans la tradition césaropapisme héritée de Constantin Ier,
le dirigeant suprême de l’Église. Le christianisme est, d’un
point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela
qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement
des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration
des biens ecclésiastiques. C’est lui qui légalise le contrôle des
évêques sur les autorités civiles locales, ce qui a comme curieuse
conséquence d’atténuer les excès centralisateurs de nombre de ses
décisions. En effet les notables provinciaux, qui participent aux
élections épiscopales, peuvent ainsi exprimer leurs avis et contrôler
pour partie l’emploi de certains fonds publics.
Justinien est confronté aux dernières résurgences du paganisme contre
lequel il agit avec vigueur. C’est ainsi qu’il met fin à l’Académie de
Platon à Athènes, alors présidée par Damase et interdit l’adoration des
dieux païens en particulier dans certaines régions reculée de l’Anatolie.
Il persécute les Juifs bien que la contrainte employée ne donne guère de
conversions.
C’est aux dissensions internes aux Églises chrétienne que Justinien
tente de mettre fin pour maintenir la cohésion de l’Empire. C’est
pourquoi il tente un rapprochement avec les monophysites, nombreux dans
la partie orientale de l’empire (en Syrie et en Égypte), d’autant que
les convictions religieuses de Théodora sont notoirement proches de ces
derniers. L’impératrice en 537 n’hésite pas à ordonner à Bélisaire, qui
combat alors en Italie, de s’emparer du pape Silvère pour le remplacer
par Vigile supposé moins intransigeant envers ce que la papauté
considère comme une hérésie. Cependant Justinien doit aussi composer
avec les divers papes dont il a besoin dans son entreprise de reconquête
de l’Italie.
Cette politique de bascule s’illustre dans l’affaire dite des Trois
Chapitres. Justinien fait condamner la mémoire de trois théologiens
détestés par les monophysites, dans l’espoir de rallier ces derniers à
l’Église officielle, sous l’accusation de nestorianisme (Théodore de
Mopsueste, Ibas d’Édesse et Théodoret de Cyr). Le Ve concile œcuménique
de 553 qui officialise cette condamnation voit ses décrets fort mal
accueillis en Occident, surtout par le pape Vigile que Justinien fait
enlever afin de le contraindre à accepter les Trois Chapitres, sans pour
cela rallier les monophysites.
Politique générale
Il reconstruit l’église de Sainte-Sophie, détruite dans
la sédition Nika en janvier 532. Bien plus tard, en 1054, la basilique
nouvelle deviendra l’un des cœurs de l’orthodoxie à Constantinople.
Prospérité commerciale et vie culturelle et artistique
Justinien représenté sur une mosaïque de l’église
San-Vitale à RavenneJustinien représenté sur une mosaïque de l’église
San-Vitale à RavenneLa destruction du royaume vandale, et la baisse de
la piraterie qui en découle, entraîne un dynamisme économique plus fort.
Les marchands d’Égypte et de Syrie entretiennent un commerce assez
dynamique avec l’Occident dont la Gaule mérovingienne où ils vendent de
l’huile, des fruits secs, des vins réputés, des verreries de Syrie et du
papyrus. L’empire est ravitaillé en esclaves par la Mer Noire. Il
entretient des relations commerciales avec Ceylan par l’intermédiaire du
royaume éthiopien d’Axoum, avec la Chine par la route de la soie. La
nécessité d’approvisionner les ateliers byzantins en soie, et la volonté
de contourner la Perse des Sassanides, explique en partie la politique
entreprise par Justinien pour faire entrer les peuples caucasiens dans
la sphère d’influence de l’empire. À partir de 552-553,
grâce à des vers à soie importés clandestinement de Chine, Byzance
commence d’ailleurs elle-même à produire de la soie. Il faut noter
cependant que l’empire, et les relations économiques, sont profondément
perturbés par une grande épidémie de "peste", à qui d’ailleurs les
historiens donnent le nom de peste de Justinien.
La vie culturelle est intense sous Justinien et profondément marquée par
la personnalité et les préoccupations de l’empereur. On retrouve chez
l’historien Procope, qui écrit l’histoire du règne de Justinien, cette
recherche de la grandeur romaine qui anime le couple impérial (dont
pourtant il médit beaucoup). Les hymnes (poésie religieuse) de Romanos
le Mélode sont un écho fidèle de la foi chrétienne profonde,
quoiqu’intolérante, de Justinien et Théodora. Il fait reconstruire
Antioche, sous le nom de Théopolis après sa destruction par un terrible
tremblement de terre en 526 et le pillage de la ville par les Perses en
538.
Le bâtisseur
Justinien est aussi un grand bâtisseur. Il a fait construire l’église
Sainte-Sophie à Constantinople (dédiée à la Sagesse divine, Sophia en
grec) à l'aide de 2 architectes, 100 maîtres maçons et 10000 ouvriers.
Elle est élevée entre 532 et 537 par Anthemius de
Tralles et Isidore de Milet. La première coupole s’étant effondrée en
558, une seconde est refaite en 562. Mais dans tout l’empire Justinien
finance la construction de villes, de ponts, de thermes, de routes.
Justinien meurt le 15 novembre 565 après avoir désigné son neveu, Justin
II, comme successeur.
Justinien et Théodora sont représentés dans leurs ornements impériaux,
avec les dignitaires de leur cour par deux fameux panneaux de mosaïque
dans la basilique San Vitale à Ravenne.
i
i
Les archéologues, les historiens d’art présentent la Turquie comme le berceau de
nombreuses civilisations, comme un carrefour de diverses cultures, comme le pays
natal du blé, comme le pays natal de l’alliage.
TransAnatolie a l’ambition de vous faire découvrir ce merveilleux pays avec une
approche fondamentalement différente des habitudes du tourisme de masse, des
habitudes des sentiers battus.
Découvrir la Turquie, c’est de faire connaissance à la fois avec le monde
de la première Déesse Mère de Çatalhoyuk-Konya, avec les premières
capitales des Hittites: Acemhoyuk–Hattusas, avec Hector, Achille, Päris, la
Belle Hélène et l’histoire du Cheval de Troie, avec Ulysse, l’Iliade et
l’Odyssée, avec le Monde gréco-romano-anatolien d’Aspasie, muse de la
democratie de Perikles et avec Thales de Milet, avec Apollon de Didymes, avec
Athéna à Priene, avec Artémis et Héraclite d’ Ephese, avec Homère de
Smyrne sans oublier Byzance–Constantinople–Istanbul.
Voyager en Turquie avec TransAnatolie vous plongera dans le bain de trois
grandes religions monothéistes.
L’Arche de Noé sur le Mont Ararat ainsi qu’Abraham à Harran et a
Urfa,
l’ancienne Edesse, vous parleront de l’Ancien Testament.
La grande tolérance des Ottomans s’est manifestée pour les Juifs de
l’Espagne mis a la porte pendant la Reconcista Par Isabelle de Castille et
Ferdinand II d’Aragon.
Ensuite, ce fut Solïman le Magnifique qui avait fait libérer le Roi de
France, François 1er des prisons de Charles Quin.
Le Nouveau Testament peut être suivi à la trace sur les Pas de Saint Paul
et dans les premières églises en Cappadoce, Phrygie, Lydie, Tarse, Antioche,
Psydie et a Ephèse.
Voyager en Turquie avec Transanatolie nous montrera l’affection toute
maternelle de la Vierge Marie, a l’Eglise Tokalı dans La Vallée de Mille
et Une Eglises a Göreme. La Vierge Marie, la Mère Myriam des Turcs musulmans.
Nous admirerons les danses des Derviches Tourneurs en voyage avec
TransAnatolie.
Nous rencontrerons également la richesse de Crésus, l’espérance
d’immortalité de Gilgamische en Mésopotamie, celle de Memed (Mehmet)
d'Acemhoyuk, sysyphe Anatolien, l’amour de l’Euphrate pour le Tigre sans
oublier les délices de la cuisine turque, l’une des meilleures du Monde.
Pendant votre voyage en Turquie, vous trouverez les traces de Darius et
d’Alexandre le Grand tout en faisant connaissance avec le noeud gordien des
tapis turcs-Taspinar, les épices de l’Orient, les merveilles du Monde, les
oiseaux et les plantes rares du Lac Salé, de la Plaine Yesilova-Eskil-Esmekaya,
le monstre du lac de VAN, les caravansérails et les ponts de Marco-Polo sur la
route de la soie,vous trouverez de nouveau votre santé dans les centres
thalasso-termaux: Pamukkale, Kütahya,Ankara Haymana- Kızılcahamam,
Belek-Kemer, Afyon, Bursa, Yalova, Nigde-Ulukisla, Çiftehan, Narligol,
Kemerhisar Tyana Kosk, Kocapinar-Ferhenk, Sivas, Gönen, Emet, Oylat, Hisarcık,
Bolu, Çeşme, Dalyanköy, Ilgın, Aksaray, Ziga.
Le Chien Kangal de Sivas, le coq de Denizli, les loups de Cappadoce, les
soldats de Tamerlan et les bergers du Mont Ararat seront les elans de votre
voyage en Turquie avec TransAnatolie.
La Turquie européenne de Mustafa Kemal Ataürk vous accueillera en joignant
les normes de l’Occident aux charmes de l’Orient.
i
Cliquez sur l'hyperlien pour télécharger les circuits culturels
TransAnatolie Tour en Turquie:
TransAnatolie Tour
Licence AG du Ministère Turc de la Culture et du Tourisme N° 4938
|